Devenir auto-entrepreneur
Le statut auto-entrepreneur a été créé en 2009 afin de faciliter la création d’entreprise en France. En effet, il présente de nombreux avantages tels que la création simplifiée, l’absence de tenue d’une comptabilité, la déclaration des cotisations basée sur le chiffre d’affaires, la franchise de TVA, … Ce régime a évolué en 2016 pour devenir ce que l’on appelle aujourd’hui micro-entrepreneur.
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comparerL’auto-entrepreneur ou micro-entrepreneur bénéfice de nombreux allègements, notamment administratifs, comptables et fiscaux. Toutefois, il reste redevable des cotisations URSSAF ou cotisations sociales. Cette obligation s’applique dès la création de l’auto-entreprise.
Quelles sont ces cotisations ? Quel est leur montant ? Les réponses dans les lignes qui suivent.
Étant une forme d’entreprise individuelle, la micro-entreprise est rattachée directement à une personne physique qui est l’auto-entrepreneur. Elle n’a donc pas d’existence à part entière. De ce fait, à la différence d’une société, ce statut juridique ne peut pas être mis en vente ou revente à proprement parler. Ce qui est possible, c’est de céder les actifs ou le fonds de commerce d’une micro-entreprise. Mais comment s’y prendre ? Vente ou revente de micro-entreprises, voici le guide.
Se lancer sous le statut d’auto-entrepreneur dans l’activité d’achat et revente de marchandises présente un bon nombre d’avantages. Ce régime juridique, connu pour sa simplicité, permet de concevoir et de mener à bien un projet de nature commerciale. Mais pour quelles raisons démarrer une micro-entreprise s’avère-t-il plus avantageux par rapport à la création d’une société en achat-revente ? Les détails.
La micro-entreprise se caractérise par sa gestion administrative simplifiée. Néanmoins, en cas de changement de situation, l’auto-entrepreneur ou micro-entrepreneur doit effectuer une déclaration auprès de l’organisme compétent. Cette procédure constitue d’ailleurs une obligation légale. Quelles sont donc les démarches à suivre si le travailleur indépendant souhaite déménager ou implanter son entreprise dans un autre local ? Et quelles pourraient être les conséquences de ce changement d’adresse ? Les réponses dans cet article !
Un micro-entrepreneur ou auto-entrepreneur peut tout à fait embaucher un salarié. Dans ce cas, il lui est aussi possible de prendre un apprenti, celui-ci étant considéré comme un salarié. Mais pour ce faire, quelles sont les conditions à respecter ? Faisons le point !
L’auto-entrepreneur peut être amené à rechercher un collaborateur pour l’aider dans son activité ou pour le remplacer temporairement. Embaucher un apprenti constitue une solution adéquate pour former un candidat qui sera rapidement opérationnel. Le dirigeant de la micro-entreprise doit toutefois répondre à certains critères et suivre différentes démarches administratives pour procéder au recrutement d’un alternant.
Le choix d’un statut juridique est une étape qu’un auto-entrepreneur ne peut contourner lors de la création de son entreprise ou lorsque les affaires fonctionnent. Donc il a aussi la possibilité de le modifier au cours de son activité. En effet, comme l’auto-entrepreneur est l’unique associé dans sa micro-entreprise, il est en droit d’engager la procédure. Vous avez une micro-entreprise et vous vous demandez quel est le meilleur statut juridique pour développer votre entreprise ? Vous êtes au bon endroit, car la réponse à votre question se trouve dans cet article.
Toute entreprise doit payer des impôts. Selon le statut de chaque entreprise, il y a différentes options fiscales. Il en est de même pour les auto-entrepreneurs, qui, lors de la création de leur entreprise, doivent choisir entre le versement libératoire et le paiement d’impôts sur les revenus annuels.
Plusieurs auto-entrepreneurs optent pour le versement libératoire, qui devient avantageux, après avoir atteint un certain seuil de chiffre d’affaires. Le pourcentage du versement libératoire varie selon les types activités. Les micro-entreprises en cours de création et celles qui sont déjà en activités sont éligibles au versement libératoire.
Le taux d’impôts à payer est fixe et est facile à calculer. Le versement libératoire n’a pas que des avantages. L’auto-entrepreneur est imposé dès le premier euro gagné et perd les avantages sociaux qu’il bénéficiait.
Au cours de l’évolution de ses activités, un auto-entrepreneur a la possibilité de changer d’option fiscale.
Besoin de récupérer la TVA, amorcer une autre phase dans son expansion, ou d’autres raisons peuvent conduire un entrepreneur à sortir volontairement du statut d’auto-entrepreneur et à passer au statut juridique d’entreprise individuelle. Mais cette décision est relativement complexe à comprendre. C’est pourquoi, les lignes suivantes se proposent de vous expliquer les différents moyens de le faire, les formalités à effectuer, ainsi que les impacts sur les plans juridique, comptable, fiscal et social.
Le statut auto-entrepreneur est idéal pour démarrer une activité commerciale sans risque, tester une idée de création d’entreprises, mais il a des inconvénients, dont la limite de chiffre d’affaires. Ainsi il peut être nécessaire de changer de régime.
Pour déclarer votre activité, vous devez impérativement domicilier votre auto-entreprise afin de lui attribuer une adresse administrative. Le manquement à cette obligation peut d’ailleurs avoir pour conséquence le refus d’immatriculation au Registre du commerce et des sociétés (RCS) ou encore au Répertoire des Métiers (RM) si vous exercez un certain type d’activité. Comme pour les sociétés, vous devez donc définir l’adresse où seront envoyés tous les documents administratifs et commerciaux inhérents à votre activité. Sachez toutefois que vous avez le libre choix en ce qui concerne le lieu de domiciliation de votre autoentreprise. En effet, vous pouvez aussi bien exercer vos activités professionnelles dans un local commercial, un local professionnel, les locaux d’une autre entreprise, une pépinière d’entreprise qu’à votre domicile personnel. À ce propos, domicilier votre autoentreprise chez vous constitue certainement la solution la plus pratique et la moins onéreuse. Décryptage.
Vous souhaitez débourser le moins possible pour votre compte bancaire professionnel pour votre activité d’auto-entrepreneur ? Si c’était possible, vous espériez même qu’il soit gratuit ? Sachez qu’il est en effet possible qu’un auto-entrepreneur possède un compte bancaire gratuit. Décryptage lancé.
L’entrepreneur individuel, auto-entrepreneur, ou gérant d’une entreprise soumise à l’IR exerçant une activité commerciale est assujetti au régime des Bénéfices industriels et commerciaux (BIC) professionnels.
L’entrepreneur individuel ou gérant d’une entreprise à l’IR peut opter, en fonction de son chiffre d’affaires, à l’un des 3 régimes proposés à savoir le micro BIC, le régime réel simplifié ou le régime normal.
L’auto-entrepreneur, quant à lui est assujetti d’office au régime micro BIC, mais avec une particularité fiscale et sociale.
Devenir autoentrepreneur est une idée séduisante qui attire de plus en plus de Français. En effet, plus d’un million d’entreprises en France bénéficient de ce statut. Il faut dire que la création d’une autoentreprise est très facile afin d’encourager les entrepreneurs à la choisir. Faites tout de même attention, car malgré ses nombreux avantages, ce régime connaît aussi ses inconvénients. Ainsi, avant de devenir autoentrepreneur prenez le temps d’étudier les pour et d’analyser les contre. Dans cet article, découvrez pourquoi vous devez être autoentrepreneur
La radiation d’un entrepreneur du statut d’auto-entreprise peut intervenir pour différentes causes. Cette radiation peut se faire à l’initiative de l’entrepreneur, lorsque ce dernier décide d’effectuer une cessation d’activité professionnelle. Mais elle peut également être la conséquence d’un certain nombre d’événements.
Quelle qu’en soit l’origine, la radiation peut être lourde d’effets aussi bien financiers qu’administratifs. Afin de n’y être pas confronté, le microentrepreneur se doit de connaitre, les différents motifs d’une radiation pour cette forme juridique. Pour les présenter, nous allons distinguer les motifs de radiations qui entraînent un changement de régime et ceux qui entraînent la fermeture de l’auto-entreprise.
Comme tout entrepreneur, les autoentrepreneurs ou microentrepreneurs ont également des besoins de financement (achat de matériels et de stock, achat d’un local, avance de fonds, besoin de trésorerie, etc.). Malheureusement, obtenir un crédit bancaire en tant qu’autoentrepreneur est un vrai parcours du combattant. Encore plus si l’autoentreprise est en phase de démarrage. Et pour cause, ces professionnels sont généralement exclus du système bancaire classique. En effet, malgré le nombre croissant de microentreprises (selon l’INSEE, elles représentent plus de la moitié des créations d’entreprises), les banques sont réticentes à prêter aux autoentrepreneurs, les considérant comme des profils à risque. Comment mettre toutes les chances de votre côté pour obtenir un prêt pour autoentrepreneur ? Quelles sont les alternatives aux crédits traditionnels ? Les réponses dans les lignes qui suivent.
Pôle Auto-Entrepreneur est une plateforme qui a pour vocation d’accompagner les microentrepreneurs. Lancer son activité se montre comme une aventure intéressante et enrichissante. Qui dit aventure dit aussi quelques embuches. Il est donc normal de chercher le type d’accompagnement offert par ce site spécialisé pour se faciliter la vie autant que possible. Avant de décider de créer sa structure avec l’aide de cette plateforme, il faut dans un premier temps se renseigner sur celle-ci et ses offres. Ainsi, découvrez dans cet article ce qu’il faut savoir sur Pôle Auto-Entrepreneur.
Avec le développement de nouvelles activités, on observe chaque année une importante augmentation du nombre de nouveaux autoentrepreneurs en France. Pour faciliter les démarches relatives à la création et à la gestion de leurs tâches, de nombreux sites leur proposent alors des services d’accompagnement en ligne. Dans cet article, découvrez la plateforme Espace Auto-Entrepreneur, les services et les tarifs qu’elle offre aux micro-entrepreneurs.
Après maintes et maintes réflexions, vous avez décidé de rejoindre la grande famille des entrepreneurs et pour monter votre projet, vous avez choisi le statut d’autoentrepreneur. Le portail autoentrepreneur est un site incontournable pour relever ce nouveau défi avec brio. Découvrez cette plateforme en ligne !
Comme pour la création d’entreprises, l’arrêt d’activité nécessite aussi des procédures administratives. Pour les micro-entrepreneurs, cette démarche est rendue plus simple. En effet, il suffit au chef d’entreprise de notifier la fin de son activité au centre de formalités des entreprises (CFE) via un formulaire P4. Celui-ci doit être rempli avec minutie pour ne pas fausser le traitement de la demande. Découvrez en détail le rôle d’un formulaire P4 et comment le remplir.
En conformité avec la loi Pinel de 2014, tout micro-entrepreneur exerçant une activité commerciale ou artisanale a l’obligation de s’immatriculer. Et ce, auprès du centre de formalités des entreprises (CFE) compétent. Selon la nature de son activité, il doit alors s’inscrire au registre du commerce et des sociétés (RCS) ou au registre des métiers (RM). Cela lui permet notamment d’obtenir un extrait K auto-entrepreneur (extrait D1 pour les artisans). Cet article fait justement le point sur ce qu’il faut savoir à propos de cet extrait K. Définition, contenu et formalités pour l’obtenir, tout de suite les détails.
Comme tout entrepreneur, l’auto-entrepreneur doit supporter plusieurs charges, dont les impôts. Soumis en principe au régime microfiscal, il est tenu de s’acquitter de plusieurs taxes. Il en est ainsi de l’impôt sur le revenu, la TVA et la taxe pour frais de chambre consulaire. Mais encore, il est dans l’obligation de payer la cotisation foncière des entreprises et la contribution à la formation professionnelle. Cet article fait justement toute la lumière sur ces différentes taxes pour microentrepreneur.
Le régime de l’auto-entrepreneur concentre près de la moitié des créations d’entreprises. Ce chiffre se comprend aisément du fait de la simplicité du régime. Les obligations déclaratives et comptables de l’auto-entrepreneur sont considérablement amoindries, tandis que les charges fiscales et sociales s’avèrent moins élevées que celles des autres entreprises. L’auto-entrepreneur reste néanmoins soumis à quelques formalités déclaratives. Il doit ainsi déclarer son chiffre d’affaires tous les mois ou trimestres, déclarer annuellement ses revenus dans le cadre de l’impôt sur le revenu, et remplir la déclaration initiale de CFE.
Bien que le statut auto-entrepreneur permet au travailleur indépendant de bénéficier d’une certaine souplesse administrative, il est tout de même soumis à certaines obligations bancaires. Effectivement, depuis le 1er janvier 2015, ce dernier a l’obligation légale d’ouvrir un compte bancaire dédié à son activité professionnelle, on peut citer la Boursorama banque, la Banque postale, etc. Cette mesure vise à éviter les fraudes et à clarifier la gestion comptable des micro-entrepreneurs. Dans les faits, qu’est-ce qu’un compte bancaire dédié pour la micro-entreprise ? Où et comment l’ouvrir ? Éléments de réponse.
La domiciliation est obligatoire pour toutes les entreprises, y compris le régime d’autoentrepreneur ou microentrepreneur. En effet, depuis le 19 décembre 2014, l’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés ou au répertoire des métiers impose aux auto-entrepreneurs en activité artisanale ou commerciale d’avoir une domiciliation professionnelle ou siège social qui correspond à son adresse administrative. D’ailleurs, cette adresse figurera sur tous les documents administratifs, juridiques et commerciaux de l’autoentreprise : factures, devis... et servira aux différents organismes tels que le greffe du tribunal ou le centre de formalités des entreprises. Mais alors, comment domicilier son autoentreprise ? Quelles sont les règles de domiciliation auto-entrepreneur ? C’est l’objet de cet article.
Le statut d’auto-entrepreneur est très intéressant pour une personne souhaitant démarrer une activité commerciale d’une manière rapide, efficace et seule, surtout si vous êtes déjà enregistré au Répertoire des Métiers. Le fait de passer au statut auto-entrepreneur permet à quiconque de cumuler cette fonction en plus de son activité professionnelle. Autrement dit, il n’est pas imposé lors de la déclaration du statut d’auto-entrepreneur de quitter la ou les professions en cours. Cependant, le statut auto-entrepreneur n’est pas suffisant si l’auto-entrepreneur en question voit sa société s’affirmer à grande vitesse, ainsi que son profit augmenter, et veut donc poursuivre sa lancée davantage, d’autant que passer en EURL lui évitera d’être pénalisé en cas de dépassement des seuils du chiffre d’affaires.